Comparateur Rachat Crédit
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Un rachat de crédits efficace
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Nos partenaires bancaires
Pourquoi passer par le comparateur gratuit et sans engagement de MODERATIO ?
Tout le monde sait qu’il est aujourd’hui possible en France de réaliser un rachat de prêt.
Différentes articulations financières existent sur le marché : prêt personnel, crédit hypothécaire ou bien encore prêt cautionné. Ce sont des restructurations que le grand public connaît.
La difficulté réside beaucoup plus dans les critères qu’il faut connaître et sélectionner pour faire le bon choix.
Dans cette optique, un comparateur rachat de credit est l’outil indispensable, car il vous permet de faire des comparatifs entre les diverses possibilités qui s’offrent à vous.
Attention toutefois, à comparer ce qui est comparable.
Beaucoup de plateformes de comparaisons en tout genre fleurissent sur la toile. Mais est-ce réellement fiable ?
La réponse est non !
Ce sont souvent des plateformes internet qui surfent sur un créneau sollicité par les consommateurs, mais qui ne connaissent en rien le produit ou le service proposé.
Les furets, par exemple, pour l’assurance ou le crédit, vous proposent de remplir une demande, via un formulaire en ligne, afin de vous faire la meilleure proposition.
Il y a deux problèmes majeurs :
1°) Pour une assurance automobile par exemple, comment comparer des produits qui sont tous différents ? L’un va être moins cher tous les mois mais avec une franchise élevée en cas de sinistre ; l’autre un peu plus cher, mais avec un véhicule de remplacement même si votre automobile est en panne à votre domicile.
Il y a de nombreuses formules proposées et le comparateur ne va pas prendre en compte votre réel besoin.
2°) La plateforme n’est ni assureur, ni banquier. Ils n’ont donc aucune compétence professionnelle pour vous indiquer la meilleure solution et encore moins la meilleure solution POUR VOUS.
D’ailleurs, la comparaison se fera entre les fournisseurs qui ont signé avec eux un partenariat.
Par exemple, pensez-vous que l’assureur qui a le meilleur rapport qualité prix passera par ce type de plateforme ?
Non ! Car le coût reversé à la plateforme impacterait immédiatement sa marge, et ne pourrait plus alors, vous proposer le meilleur rapport qualité prix.
Il y a donc lieu de ne pas se tromper dans le choix du comparateur rachat de credit auquel vous ferez appel.
Pour réaliser votre comparatif, il faut passer par un professionnel spécialisé dans le produit ou le service que vous cherchez.
C’est ainsi que MODERATIO compare entre tous les organismes de crédit en France, spécialisés dans ces opérations financières.
Et notre proposition n’est pas en corrélation avec le prêteur qui nous rémunèrera le mieux !
Pour être efficace, nous devons prendre en compte un certain nombre de critères.
Dans la demande de simulation, outil à la fois simple d’utilisation et compilant des données précises, vous allez rentrer tous les éléments de votre dossier.
Vous pourrez préciser quels sont les types de crédits que vous possédez, quels sont leurs capitaux restant dus, sans oublier de spécifier si vous avez déjà eu une restructuration antérieure.
Vous devez aussi renseigner vos revenus, la valeur de votre ou de vos biens immobiliers si vous êtes propriétaire.
Autant d’éléments essentiels pour nous permettre de vous donner des résultats chiffrés fiables.
Et comme il est parfois difficile de tout dire, tout écrire, sur un simple formulaire, un analyste MODERATIO prendra contact avec vous et n’hésitera pas à vous poser des questions complémentaires.
Le but n’est pas de présenter un dossier, sans mettre toutes les chances de votre côté pour qu’il soit accepté. C’est notre mission. A nous de comparer toutes les possibilités qui peuvent vous être offertes et de vous faire la meilleure proposition.
Notre comparateur rachat de credit vous donne à l’issue un avis favorable ou défavorable. Et dans le cas extrême où nous n’aurions pas de solution à vous proposer, nous vous donnerons des conseils pour que votre demande puisse être représentée un peu plus tard, avec des chances de succès.
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Pour plus d’informations sur le rachat de crédits, vous pouvez découvrir notre site internet. De plus, nous formons des courtiers en rachats crédits.
Si vous souhaitez un comparateur rachat de crédits. Enfin, vous découvrirez vos opportunités pour le rachat de vos crédits en cours.
Nous vous donnons des informations sur le surendettement et le rachat de crédit.
Vous souhaitez en savoir plus sur les Experts en rachat de crédits et regroupement de crédits Moderatio ? C’est par ici.
Délais de réflexion ou de rétractation pour le comparateur rachat de crédits ?
Les délais de réflexion sont destinés tant à protéger les consommateurs contre des achats de biens ou de services résultant d’impulsions favorisées par la publicité et les techniques de vente et lui permettre de lire les conditions du contrat et d’y réfléchir.
Le délai de réflexion suspend le contrat et retarde l’engagement à la différence du droit de repentir où le contrat fait l’objet d’une rétractation annulant le contrat.
I-DELAIS DE REFLEXION :
– Pour un CREDIT IMMOBILIER : Délai de réflexion de 10 jours à compter de la réception de l’offre préalable de crédit qui ne peut être signée avant l’expiration dudit délai.
– Pour un AVENANT A UN CREDIT IMMOBILIER : Délai de réflexion de 10 jours à compter de la réception de l’avenant qui ne peut être signée avant l’expiration dudit délai
Le droit de repentir repose sur un droit de rétractation qui laisse au contractant un délai pour revenir sur le consentement qu’il a donné. Le contrat a été signé mais dans les cas où existe un droit de repentir un délai de rétractation permet l’annulation de l’engagement pour une durée courant à partir d’un point de départ fixé par le législateur. Le droit de repentir annule rétroactivement le contrat à la différence du délai de réflexion qui le suspend.
II- DELAIS DE RETRACTATION :
– Pour un crédit à la consommation : Délai de rétractation de 7 jours à compter de la signature de l’offre préalable de crédit, sauf pour les crédits adossés lorsque la livraison du bien financé est anticipée à la demande du consommateur où le point de départ du délai est le 3ème jour si la livraison intervient dans les 3 jours de la signature et le jour de la livraison si celle-ci intervient entre le 4è et le 7è jour.
CAS DU DEMARCHAGE OU DE LA VENTE A DISTANCE DE PRODUITS FINANCIERS
Ordonnance n° 2005-648 du 6 juin 2005 relative à la commercialisation à distance de services financiers auprès des consommateurs
Art. L. 121-20-12. du Code de la Consommation
- Le consommateur dispose d’un délai de quatorze jours calendaires révolus pour exercer son droit de rétractation, sans avoir à justifier de motif ni à supporter de pénalités. Le délai pendant lequel peut s’exercer le droit de rétractation commence à courir :
- – 1° Soit à compter du jour où le contrat à distance est conclu ;
- – 2° Soit à compter du jour où le consommateur reçoit les conditions contractuelles et les informations, conformément à l’article L. 121-20-11, si cette dernière date est postérieure à celle mentionnée au 1°.
- Le droit de rétractation ne s’applique pas :
- – 1° A la fourniture d’instruments financiers mentionnés à l’article L. 211-1 du code monétaire et financier ainsi qu’aux services de réception-transmission et exécution d’ordres pour le compte de tiers mentionnés à l’article L. 321-1 du même code ;
- – 2° Aux contrats exécutés intégralement par les deux parties à la demande expresse du consommateur avant que ce dernier n’exerce son droit de rétractation ;
- – 3° Aux contrats de crédit immobilier définis à l’article L. 312
III. Le présent article ne s’applique pas aux contrats mentionnés à l’article L. 121-60.
- Pour les contrats de crédit affecté définis à l’article L. 311-20 conclus selon une technique de communication à distance, et par dérogation aux dispositions de l’article L. 311-24, le délai de rétractation de quatorze jours ne peut pas être réduit.
Pour les crédits à la consommation (sauf crédits affectés) : Le contrat ne peut commencer à être exécuté qu’à l’expiration du délai de rétractation, sauf si le consommateur demande la mise à disposition des fonds à compter du huitième jour suivant son acceptation. En cas d’exercice de la faculté de rétractation, il devra alors restituer le montant du crédit si celui-ci a été débloqué, mais il ne sera tenu qu’au paiement du prix correspondant à l’utilisation du produit ou service effectivement fourni jusqu’à la date de rétractation, à l’exclusion de toute pénalité.
Pour les crédits à la consommation affectés : Le contrat ne peut commencer à être exécuté qu’à l’expiration du délai de rétractation, sauf si le consommateur vous demande la livraison immédiate du bien financé et la mise à disposition des fonds à la livraison à compter du quatrième jour suivant son acceptation. En cas d’exercice de la faculté de rétractation, il devra alors restituer le montant du crédit si celui-ci a été débloqué, mais il ne sera tenu qu’au paiement du prix correspondant à l’utilisation du produit ou service effectivement fourni jusqu’à la date de rétractation, à l’exclusion de toute pénalité.
Par dérogation aux dispositions de l’article L. 311-25, l’exercice du droit de rétractation, n’emporte résolution de plein droit du contrat de vente ou de prestation de services que s’il intervient dans un délai de sept jours à compter de la conclusion du contrat de crédit. De plus, lorsque le consommateur, par une demande expresse, sollicite la livraison ou la fourniture immédiate du bien ou de la prestation de services, l’exercice du droit de rétractation n’emporte résolution de plein droit du contrat de vente ou de prestation de services, que s’il intervient dans un délai de trois jours à compter de la conclusion du contrat de crédit. Toute livraison ou fourniture anticipée est à la charge du vendeur qui en supporte tous les risques.
Pour les crédits immobiliers
Le consommateur ne dispose pas d’un délai de rétraction mais, conformément à l’article L 312-5 du Code de la consommation, d’un délai de réflexion de dix jours. Si le prêt est destiné à financer une acquisition, la vente est subordonnée à l’obtention du prêt : si celui-ci n’est pas obtenu, le vendeur doit rembourser à l’acquéreur les sommes versées.
Les mentions légales des sites de rachat de crédits
En parcourant le web, on peut s’inquiéter devant le peu de lisibilité et d’intelligibilité de nombreux sites dédiés au rachat de crédits, en particulier de ceux dont les éditeurs ne sont pas des intermédiaires en opérations de banque et dont on peut également s’interroger sur la légalité de la démarche commerciale, à la limite de pratiques tendancieuses, qui induit souvent les internautes à la recherche d’un regroupement de crédits en erreur.
Par ailleurs, la complexité et l’inadaptation de la réglementation actuelle face aux médias les plus modernes, conduisent à une situation où le respect des contraintes formelles l’emporte souvent sur la qualité de l’information délivrée aux internautes candidats à un rachat de crédits. C’est, en particulier le cas des données chiffrées des exemples de rachat de crédits qui, loin d’éclairer le consommateur, brouille sa compréhension.
Cette situation a d’ailleurs amené le CNC à rappeler que les seules indications chiffrées déterminantes du consentement d’un candidat emprunteur sont celles qui figureront sur l’offre préalable qui lui sera remise s’il se décide à recourir au crédit pour concrétiser un projet.
Un site dédié au rachat de crédits est un site professionnel qui, à ce titre doit respecter un certain nombre d’obligations légales :
– d’ordre général
Tout éditeur de sites doit, conformément à la Loi n° 2004-275 ( LCEN ), fournir à ses visiteurs un certain nombre d’informations appelées ‘Mentions légales’ leur permettant de l’identifier :
-Si l’éditeur est une personne morale, elle doit faire figurer :
sa raison sociale l’adresse de son siège social son numéro de téléphone son capital son numéro d’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés, au Répertoire des Métiers ou son numéro SIREN
-Si l’éditeur est une personne physique, elle doit faire figurer :
son nom son prénom son adresse postale son numéro de téléphone son numéro d’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés, au Répertoire des Métiers ou son numéro SIREN
Dans tous les cas, on doit faire apparaître les coordonnées de l’hébergeur.
–d’ordre professionnel
Ces dispositions concernent la publicité qu’un intermédiaire fait par l’intermédiaire de son site considéré comme un média.
-1) Publicité sur le crédit consommation ( et le rachat de crédit assimilé à une telle opération ) : > Article L311-4 du Code de la Consommation Modifié par la Loi n°2003-706 du 1 août 2003 – art. 87 (V) JORF 2 août 2003
Toute publicité faite, reçue ou perçue en France qui, quel que soit son support, porte sur l’une des opérations de crédit à la consommation visées à l’article L. 311-2, est loyale et informative. A ce titre, elle doit : 1° Préciser l’identité du prêteur, la nature, l’objet et la durée de l’opération proposée ainsi que le coût total et, s’il y a lieu, le taux effectif global annuel du crédit, à l’exclusion de tout autre taux, ainsi que les perceptions forfaitaires ; 2° Préciser le montant, en euros, des remboursements par échéance ou, en cas d’impossibilité, le moyen de le déterminer. Ce montant inclut le coût de l’assurance lorsque celle-ci est obligatoire pour obtenir le financement et, le cas échéant, le coût des perceptions forfaitaires ; 3° Indiquer, pour les opérations à durée déterminée, le nombre d’échéances. Dans toute publicité écrite, quel que soit le support utilisé, les informations relatives à la nature de l’opération, à sa durée, au taux effectif global, s’il y a lieu, et, s’il s’agit d’un taux promotionnel, à la période durant laquelle ce taux s’applique, au caractère “fixe ou révisable” du taux effectif global et au montant des remboursements par échéance doivent figurer dans une taille de caractères au moins aussi importante que celle utilisée pour indiquer toute autre information relative aux caractéristiques du financement et s’inscrire dans le corps principal du texte publicitaire. Il est interdit, dans toute publicité, quel que soit le support utilisé, d’indiquer qu’un prêt peut être octroyé sans élément d’information permettant d’apprécier la situation financière de l’emprunteur, ou de suggérer que le prêt entraîne une augmentation de ressources ou accorde une réserve automatique d’argent immédiatement disponible, sans contrepartie financière identifiable. L’offre préalable de crédit doit être distincte de tout support ou document publicitaire. (1) NOTA: (1) : Loi n° 2003-706 art. 87 II : Ces dispositions sont applicables aux publicités faites, reçues ou perçues en France ainsi qu’aux contrats de crédits consentis ou renouvelés six mois après la promulgation de la loi n° 2003-706 du 1er août 2003. Les opérations de rachat de crédit consommation en font partie.
-2) Publicité sur le crédit immobilier ( et le rachat de crédit hypothécaire peut être assimilé à une telle opération ) : > Article L312-4 du Code de la Consommation Modifié par la Loi n°2003-706 du 1 août 2003 – art. 87 (V) JORF 2 août 2003
Toute publicité faite, reçue ou perçue en France, qui, quel que soit son support, porte sur l’un des prêts mentionnés à l’article L. 312-2, doit : 1° Préciser l’identité du prêteur, la nature et l’objet du prêt ; 2° Préciser, si elle comporte un ou plusieurs éléments chiffrés, la durée de l’opération proposée ainsi que le coût total et le taux effectif global annuel du crédit, à l’exclusion de tout autre taux. (1) Toutes les mentions obligatoires doivent être présentées de manière parfaitement lisible et compréhensible par le consommateur. NOTA: (1) : Loi n° 2003-706 Article 87 II (1er alinéa) : Ces dispositions sont applicables aux publicités faites, reçues ou perçues en France ainsi qu’aux contrats de crédits consentis ou renouvelés six mois après la promulgation de la loi n° 2003-706 du 1er août 2003. Les opérations de rachat de crédit immobilier en font partie.
-3) Pour les intermédiaires en Opérations de Banque ( IOB ) : > Article L321-2 du Code de la Consommation Créé par Loi 2001-1168 2001-12-11 art. 16 I 1°, 2° JORF 12 décembre 2001
Toute publicité diffusée par ou pour le compte d’une personne physique ou morale qui apporte son concours, à quelque titre que ce soit et de quelque manière que ce soit, directement ou indirectement, à l’obtention d’un ou plusieurs prêts d’argent par un particulier, doit comporter, de manière apparente, la mention suivante : “Aucun versement, de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d’un particulier, avant l’obtention d’un ou plusieurs prêts d’argent”. Cette publicité doit indiquer le nom et l’adresse de l’établissement de crédit ou des établissements de crédit pour le compte duquel ou desquels l’intermédiaire en rachat de crédits exerce son activité.
Soyez donc vigilent lorsque vous consulter un site dédié au rachat de crédits en commençant par chercher la page des « Mentions légales ».
Le rachat de crédit finance aussi vos projets !
Le rachat de crédits n’a pas pour seule vocation de vous sortir du malendettement. Le rachat de crédits permet de financer aussi un projet sans débourser plus chaque mois. Une piscine, un tennis, un jardin d’hiver … en un mot l’art d’enrichir votre cadre de vie ! Oui, mais même si ces équipements valorisent votre propriété et apportent une plus-value à la revente, ils coûtent cher à l’achat. Il y a évidemment le crédit mais lorsqu’on est en train de rembourser celui de sa maison, la marge est ténue si vous ne voulez pas pour autant vous priver d’autres plaisirs.
C’est là que le rachat de crédit intervient. Il finance votre projet et, en même temps, consolide votre prêt immobilier ainsi, le cas échéant, que vos crédits à la consommation. Sa durée est adaptée à votre budget de sorte que la charge de remboursement mensuelle reste à peu près la même qu’antérieurement. Selon la durée d’amortissement choisie, l’on peut même faire baisser plus ou moins le taux d’effort comme dans l’exemple ci-après où il baisse de près de la moitié ( 46,15 % très exactement ).
Monsieur et Madame MARTIN sont cadres et ont acheté leur maison au moyen d’un prêt à l’habitat de 200.000 € en avril 1996 au taux révisable actuel de 6,80% pour une mensualité assurance comprise de 1594 € sur lequel le capital restant dû est de 122.238 € à ce jour.. Ils ont également un crédit voiture pour lequel la mensualité est de 585 € et le solde de 3680 € , ainsi qu’un revolving avec une mensualité de 150 € pour un solde de 1260 €. Ils paient donc 2329 € par mois, soit la moitié environ de leurs revenus, et doivent 157.178€..
Ils veulent faire construire une piscine traditionnelle d’un coût de 30.000 €.
Le prêt de rachat de crédits cautionné ( sans hypothèque ) qui consolide les trois crédits et finance la piscine à 100% s’élève, en y incluant tous les frais liés au prêt ( 6228 € dont 3280 € de frais d’intermédiation ), à montant total de 164.000 €. Pour une durée de 240 mois au taux nominal FIXE de 6,80%, la mensualité assurance incluse est de 1254 €, soit un gain mensuel de trésorerie immédiat de 1075 €. ( TEG 7,37% coût total du crédit 100.800 € dont 13.120 € d’assurance et 6822 € de perceptions forfaitaires ) et un taux d’effort ramené à moins du tiers de leurs revenus.
Ainsi, tout en récupérant un pouvoir d’achat immédiat et substantiel, le cadre de vie de Monsieur et Madame MARTIN sera agrémenté, ils profiteront avec leurs enfants des joies aquatiques et leur maison se vendra plus facilement avec une plus value appréciable. (conditions en vigueur au 01/02/08).
La qualité gagne le rachat de crédits
La démarche qualité fait son apparition dans le rachat de crédits.
Il y a qualité et qualité : Celle des certifications et des normes tranchantes et rigoureuses qui parle de délai, de planification et d’étalonnage. Et celle qui parle de l’homme ( au sens générique). Cette sorte de qualité commence dans l’écoute du client pour bien comprendre sa problématique et cerner ses attentes car on ne rachète pas des crédits comme des cadeaux de Noêl en doublon !
Cette qualité là, elle suppose de la part de tous les membres de l’entreprise de l’empathie et, surtout, de la gentillesse, c’est-à-dire un peu plus qu’un service courtois et attentionné. La gentillesse est l’une des valeurs les plus importantes de la relation-client . Elle génère de la richesse et pas uniquement dans les cœurs.
Les entreprises souffrent souvent d’un manque d’humanité proportionnel à leur taille. Ce qui est petit est gentil ! Ca vaut aussi dans le monde du rachat de crédits. a qualité c’est aussi celle de la franchise et du respect de ses engagements, loin des argumentaires purement commerciaux. En matière de rachat de crédits, c’est la moindre des choses. La qualité c’est également la compétence qui exige une formation continue de la Direction comme des Collaborateurs. La qualité, c’est enfin la responsabilité à toutes les étapes du processus du rachat de crédits.
La qualité, on y gagne tous.
Choisir le bon IOB pour un rachat de crédits réussi
Dans un premier temps, il convient de vérifier qu’il s’agit bien d’un IOB professionnel ! Et pour cela, il doit être :
-immatriculé au Registre du Commerce et des Sociétés en France
-mandaté par un ou plusieurs établissements de crédit français de renom
-titulaire d’une assurance de responsabilité en cours de validité
En second lieu, testez sa réactivité et la qualité de son écoute. Un IOB qui tarde à vous contacter directement après que vous ayez fait une demande sur Internet ou envoyé un coupon-réponse est à éviter, tout comme celui qui, à peine s’être présenté, vous assure que votre rachat de crédits sera accepté et vous propose une formule toute faite sans avoir pris le temps de vous interroger sur votre situation et vos attentes. Vous écarterez de la même manière celui qui ne fait pas preuve de gentillesse ou qui ne sait pas répondre immédiatement et précisément à vos questions ou encore noie le poisson. Fiez-vous à votre instinct et fuyez ceux qui ne vous ont pas laissé une bonne impression ou qui suscitent des interrogations.
Examinez les sites Internet des IOB que vous avez sélectionnés et vérifiez avant toute chose que l’éditeur de ce site est un bien un IOB et non une officine commerciale quelconque qui cherche à capter soit des clics sur des liens rémunérés ( tels que les adwords de Google ), soit des demandes de rachat de crédits pour les revendre à prix d’or à plusieurs IOB en même temps. Rappelez-vous également que le classement d’un site par les moteurs de recherche ne tient pas du tout compte des qualités professionnelles et de l’éthique de son éditeur mais de sa conception technique et de son référencement, voire, pour les liens « sponsorisés », du montant des enchères !
Assurez-vous que le site est bien construit, dans un style professionnel, et, surtout, riche en informations sur le rachat de crédit et son environnement juridique . Qu’il respecte l’information légale obligatoire ( exemples accompagnés de l’indication du TEG, du coût total du crédit, sa durée, ainsi que le rappel qu’aucun versement ne peut être exigé d’un particulier avant l’obtention d’un ou plusieurs prêts d’argent ).
Vérifiez que les mentions légales répondent à la loi et vous permettent d’identifier du premier coup d’œil l’éditeur du site et sa qualité. Ainsi, vous connaîtrez ses noms et adresses ( physique et Internet ), son numéro d’immatriculation au Registre du Commerce, ses mandats, son assurance de responsabilité civile professionnelle et son appartenance éventuelle à une organisation professionnelle représentative des métiers du rachat de crédits.
Pourquoi confier son rachat de crédits à un IOB ?
La grande majorité des rachats de crédits réalisés en France l’est par le canal des IOB. Certains établissements de crédits imposent même le passage par ces professionnels qui sont à l’origine de cette technique bancaire innovante et de son fulgurant essor ces dernières années.
L’intermédiaire en opérations de banque ( sigle IOB ), également dénommé « courtier en crédit », est un auxiliaire financier indépendant dont le statut est régi par le Code Monétaire et Financier. Il doit être immatriculé au Registre du Commerce et des Sociétés, mandaté par un ou plusieurs établissements de crédit garants de ses compétences et de sa probité, être inscrit au FIDEM tenu par la Banque de France et être titulaire d’une assurance de responsabilité civile professionnelle.
Les IOB les plus soucieux de se soumettre en plus à des règles éthiques et déontologiques, ainsi que de promouvoir les valeurs de leur corporation spécialisée dans le rachat de crédits, se sont regroupés au sein des deux organisations professionnelles les plus représentatives : l’Association Française des Intermédiaires Bancaires ( AFIB ) et le Syndicat des Intermédiaires en Opérations de Banque ( SIOB ).
L’ IOB, à titre de profession habituelle, met en relation un candidat à l’emprunt avec un établissement de crédit susceptible de le lui octroyer au moyen de l’un des produits bancaires prévus dans son mandat avec cet établissement : prêts immobiliers, crédits de trésorerie, rachat de crédit immobilier et/ou regroupement de crédits consommation.
Bien que mandaté le plus souvent par plusieurs établissements financiers, il est indépendant commercialement à leur égard et choisit librement de diriger son client vers tel ou tel mandant bancaire en fonction des critères de ce dernier et des attentes de son client en termes de coût, de garantie, de délai ou de chances d’obtenir son rachat de crédits. L’IOB est à la fois mandataire des établissements financier et de ses clients au bénéfice desquels il fait jouer la concurrence entre ses différents mandants bancaires lorsque cela est possible.
Sa mission à l’égard de son client consiste exclusivement à rechercher le rachat de crédits souhaité par ce dernier et à le mettre en relation avec l’établissement de crédit le plus apte à y satisfaire en facilitant la conclusion de l’opération. Dans ce cadre, il audite la situation d’ensemble de son client et monte le dossier, qu’il présente à l’appui de la demande de rachat de crédits, accompagné d’un rapport de synthèse. L’IOB n’est ni un conseil en gestion budgétaire ou en économie familiale, ni un gestionnaire de crédit. N’étant lui-même décideur, il est soumis à une obligation de moyens et non de résultat.
Les avantages que présente pour un candidat au rachat de ses crédits le recours à un IOB sont nombreux :
- – un gain de temps dans la présélection des établissements de crédit spécialisés dans la restructuration dont les critères rendent la demande de rachat de crédits éligible, outre les conditions commerciales concurrentielles à prendre en considération ; L’IOB est le meilleur carnet d’adresse qui se puisse rêver !
- – un gain de temps également par la dispense du fastidieux « tour des banques » et du montage de dossiers complets pour toutes, sans oublier le traitement ultérieur des innombrables demandes d’informations et de production de documents complémentaires ;
- – une optimisation du montage du dossier grâce à la connaissance des particularismes et de l’approche personnelle de chacun de ses mandants bancaires résultant d’une étroite collaboration favorisant à la fois la rapidité d’étude et un à priori favorable ;
-un suivi transparent et éclairé de la procédure d’instruction de la demande de rachat de crédits et de la prise de décision;
- – une réactivité de tous les instants ;
- – une possibilité de recours suite à un refus;
- – un gain d’argent enfin sur le coût de crédit par la sélection du meilleur financeur possible du moment en fonction des caractéristiques de la demande de rachat de crédits et de la connaissance actualisée en temps réel des conditions du marché par l’IOB ;
- – un gain d’argent encore, lorsque la possibilité de délégation lui est ouverte, sur les primes d’assurance emprunteur par la sélection du meilleur assureur possible en fonction de l’âge, de la profession et de l’état de santé de l’emprunteur.
Son niveau d’expertise en matière de rachat de crédits et la reconnaissance de ses qualités professionnelles et humaines par ses mandants bancaires, facilitant l’obtention du prêt de restructuration dont la recherche lui est confiée, font de l’IOB l’acteur incontournable d’un rachat de crédit réussi.
L’intermédiaire en opérations de banque n’est rémunéré qu’en cas de bonne fin, c’est-à-dire si et seulement si le rachat de crédits qu’il propose à son client satisfait pleinement ce dernier. En effet, sa rémunération, appelée « commission d’intermédiation », « commission de courtage » ou encore « commission de mandat », qui est incluse dans le montant du prêt de restructuration, n’est exigible qu’après la ratification de l’offre préalable de crédit au terme du délai de réflexion et expiration du délai de rétractation lorsque la loi prévoit de tels délais. Elle ne lui est versée, par le prêteur, qu’après la mise à disposition du client ou de son notaire des fonds. Pour une sécurité totale des emprunteurs, les fonds ne transitent jamais par les comptes bancaires des IOB.
Pour n’encourir aucune désillusion, il faut cependant ne pas confondre certaines officines aux pratiques plus obscures que leur statut qui se cachent encore ça et là sur le net ou derrière des annonces de journaux « gratuits » avec les véritables IOB. Il faut enfin choisir un « bon IOB » car il en est de cette profession comme des autres, elle est exercée par une majorité compétente et une minorité qui l’est un peu moins. La fausse bonne idée est de multiplier les dossiers à la photocopieuse pour en charger autant d’IOB dans l’espoir de conjurer le mauvais sort et de faire « jouer la concurrence ». Le rachat de crédits n’est pas un jeu et perdre ses chances de l’obtenir est toujours regrettable.
La rémunération de l’IOB ?
La rémunération de l’IOB, justifiée par les nombreux services et avantages qu’il procure à ses clients, est destinée à couvrir notamment :
-le coût de sa communication externe , car sans publicité le public ne connaîtrait pas le rachat de crédits ;
-les immobilisations nécessaires à son activité ( locaux,
équipement informatique et bureautique, mobilier de bureau, véhicules … ) ;
- – les salaires et charges sociales de son personnel ;
- – les autres charges de fonctionnement de sa structure ;
- – les impôts et taxes ;
- – ses coûts de formation ;
- – le travail effectué à titre gratuit et les frais exposés sur les études de rachat de crédits aboutissant à un constat d’impossibilité, ainsi que les financements refusés par ses mandants bancaires ou les clients eux-mêmes pour toutes sortes de raison.
Il faut savoir que les IOB qui attirent la clientèle intéressée par le rachat de crédits au moyen de la publicité dans la presse, la télévision ou Internet, ce travail représente à peu près les trois quarts de leur activité de production.
La rémunération des IOB en matière de regroupement de crédits est libre. Elle est toutefois plafonnée dans la pratique par la limitation dite des « taux d’usure ». Conformément aux dispositions du Code Monétaire et financier, la commission d’intermédiation fait partie des frais liés au prêt et, à ce titre, est obligatoirement incluse dans la détermination du TEG. Ce dernier ne doit pas être supérieur, selon la catégorie de crédits dont il s’agit à un taux maximum fixé par décret.
ATTENTION : Si la commission d’intermédiation ne figure pas sur l’offre de prêt afférente au rachat de crédits en tant que telle et que l’intermédiaire vous explique qu’elle est incluse dans l’enveloppe de trésorerie, qu’en conséquence il vous appartient de la lui régler directement, il y a fort à parier qu’il travaille en toute illégalité. De même, serait dans l’illégalité l’intermédiaire qui solliciterait, à quelque titre que ce soit, une rallonge de la commission de mandat stipulée dans l’offre de prêt que vous devriez lui payer vous même.
Dans tous les cas, il convient de rappeler qu’aucun versement, de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d’un particulier avant l’obtention d’un ou plusieurs prêts d’argent. Cela vaut évidemment pour toute opération de rachat de crédits.
Quel est le taux habituellement pratiqué par les IOB pour la commission d’intermédiation en matière de rachat de crédits ?
Selon Hervé WIGNOLLE, le Président du Syndicat des Intermédiaires en Opérations de Banque ( SIOB ), « les commissions s’élèvent en moyenne à 5-6 % en raison du très gros travail de présentation du dossier de restructuration ».
C’est effectivement la fourchette la plus largement pratiquée par les professionnels du rachat de crédits. Toutefois il existe des IOB, surtout des grosses structures paradoxalement, qui pratiquent des taux sensiblement plus élevés : de l’ordre de 8%, voire plus. C’est carrément excessif car injustifié. A l’inverse, nombre d’IOB applique des barèmes dégressifs à partir de taux de 5 ou 6% selon les montants des rachats de crédits.
Il est donc essentiel de se renseigner sur le taux de la commission d’intermédiation AVANT de confier son rachat de crédit à un IOB. Trop bas, c’est intrigant car un travail doit être rémunéré à sa juste hauteur et trop haut c’est excessif car injustifié. Il serait dommage de perdre d’un côté ce que l’on gagne de l’autre, encore faut-il s’assurer d’obtenir son rachat de crédit en choisissant un bon IOB.
Une fausse bonne idée : Confier son rachat de crédits à plusieurs IOB
Pourquoi n’est-il pas conseillé de faire « jouer la concurrence » en confiant votre rachat de crédits à plusieurs intermédiaires en opérations de banque ( IOB ) en même temps ? C’est une option tentante tant il est facile de surfer sur le net et de remplir des demandes à la pelle ou plutôt à grands coups de souris !
En vérité, cette tactique ( trop ) facile est contre-productive et peut même compromettre vos chances d’obtenir votre rachat de crédits dans un délai court alors que souvent, la situation exige un traitement d’urgence.
Il faut savoir qu’il existe, en France, plusieurs centaines d’IOB mais un tout petit nombre d’établissement de crédits spécialisés dans la restructuration des particuliers : une grosse dizaine se partage le marché. La plupart de ces banques travaille avec les mêmes IOB.
Logiquement, un dossier présenté par plusieurs IOB a toutes les chances de finir sur les bureaux des mêmes analystes bancaires en autant d’exemplaires que d’IOB.
Afin d’éviter des conflits entre leurs IOB et de se créer un surcroît de travail improductif, les établissements de crédit ont mis en place la règle du « premier arrivé, premier servi ». En clair, une seule demande, la première reçue, est examinée par un établissement de crédit quelque soit le nombre d’IOB qui en est saisi. Le confier à plusieurs IOB en même temps est donc totalement vain.
Le problème est que si l’établissement adresse une fin de non recevoir à un IOB et que ce refus soit du à un mauvais montage du dossier ou à une présentation bâclée, la plupart des établissements de crédits refuse tout réexamen avant un délai qui est généralement de six mois.
La même cause produisant souvent les mêmes effets, il est à craindre que le même sort soit réservé à toutes les autres demandes présentées par le même IOB à tous les établissements de crédit dont il est mandataire.
L’endettement baisse, le surendettement recule et le rachat de crédits explose
50% des ménages français détenaient au moins un crédit en 2007 contre 52,6% l’année précédente. Ce chiffre traduit la volonté de désendettement des français qui ont eu moins recours aux crédits de trésorerie ( déjà en 2006 ceux qui détenaient un crédit de trésorerie étaient descendus à 32,6% contre 34,5% l’année précédente ). Il convient de préciser qu’à l’intérieur des crédits de trésorerie, les crédits personnels ont, eux, augmenté mais seulement grâce à l’envolée des rachats de crédits qui en constituent le quart. Ce sont les crédits renouvelables ( revolving et cartes de crédit ) qui ont le plus baissé.
Les français estimaient en 2006 que leur situation financière ne se dégradait plus. Ils sont plus nombreux à estimer que leur charge de remboursement de crédit se sont stabilisées, voire améliorées et qu’elles sont supportables ou très supportables ( + 1,5% en un an ).
Le rachat de crédits n’y est pas étranger. Les français ne s’y sont pas trompés et ont plébiscité le rachat de crédit comme outil de gestion budgétaire, d’où son essor.
Un rapport du Sénat indiquait que : “Les français apparaissent sous-endettés par rapport à leurs homologues des pays développés. Leur taux d’épargne est ainsi comparaison élevé et leur taux de recours au crédit est faible“.
Après avoir augmenté un temps, un ralentissement du crédit se dessine : En 2006, 4,9% des ménages déclaraient avoir l’intention de souscrire un crédit immobilier contre 6% fin 2005. Même volonté de réduire le recours aux crédits de trésorerie ( à l’exception du rachat de credit ) : de 4,8% déclarant vouloir un souscrie un en 2005, ils descendent à 4,5% en 2006.
En revanche, selon LE FIGARO, 5.000.000 de français pourraient avoir recours au rachat de crédits dans les année à venir.
Dans le même temps, le surendettement, qualifié de “nouvelle urgence sociale” par le Médiateur de la République” amorce une décrue. Le nombre de dossiers déposés en décembre 2007 traduisait une baisse de 8,4% par rapport au mois précédent et une diminution de 5,6% par rapport à décembre 2006. En données cumulées, le nombre de dossiers déposés en 2007 a baissé de 1,1% par rapport à 2006. Là encore, les effets du rachat de crédits comme moyen de prévention du surendettement se fait sentir.
Le rachat de crédit cautionné: plus simple, plus rapide.
Le rachat de crédit immobilier sans hypothèque et sans notaire existe ! C’est le rachat de crédit cautionné ( RAC ). La garantie caution en remplacement de l’hypothèque conventionnelle présente de nombreux avantages : En tout premier lieu, il n’y a pas lieu d’hypothéquer son bien. L’emprunteur signe un contrat de prêt, d’une part, et un contrat de cautionnement, d’autre part. La procédure d’instruction du dossier est ainsi plus rapide et le déblocage des fonds se fait plus vite que pour un dossier de rachat de crédit hypothécaire. Elle est aussi plus simple car il n’y a plus besoin de passer par un Notaire, l’interlocuteur unique de l’emprunteur étant son courtier. Enfin, cerise sur le gâteau, les frais de cautionnement sont souvent moins chers qu’une hypothèque. Pour plus de sécurité, le rachat de crédit cautionné bénéficie de taux fixes. Ces frais sont financés dans le prêt de restructuration comme les frais de dossier et les frais de mandat. En cas de difficultés de remboursement, le prêteur et l’assureur prennent contact avec l’emprunteur pour trouver une solution qui lui permet de conserver son bien immobilier.
Définition du rachat de crédits
Le rachat de crédits est une opération bancaire privée. Elle consiste dans la souscription d’un prêt amortissable classique dont l’objet est de consolider, c’est à dire rembourser par anticipation tout ou partie des crédits de toute nature dont est titulaire l’emprunteur ainsi que, le cas échéant, d’autres dettes. Il peut y être ajouté une trésorerie pour financer un projet ou anticiper une dépense incontournable à venir. Tous les frais liés au prêt, y compris la commission d’intermédiation, sont incorporés dans le montant financé et inclus dans le TEG.
Le prêt de restructuration a plusieurs objet :
- – le principal, celui qui lui a valu son immense succès, est de corriger un endettement excessif et de prévenir ainsi une situation de surendettement;
- – adapter son budget à un changement de situation ou anticiper celle-ci ( baisse de revenus lors du passage en retraite, par exemple;
- – financer un projet sans augmenter son taux d’effort, c’est à dire la charge mensuelle de remboursement de crédit;
- – réduire des coûts de crédit trop élevés ( revolving ) et transformer des crédits permanents en amortissables;
- – passer de taux révisable en taux fixe ( hors contrat ).
A montant égal, la réduction de la charge mensuelle de crédit est obtenue par une augmentation de la durée d’amortissement et, le plus souvent, par un taux d’intérêt moins élevé que la moyenne de ceux appliqués aux crédits consolidés. Ainsi, à durée moyenne égale, le coût d’un rachat de crédit est moins élevé ( ce qui est purement théorique car la durée doit être nécessairement augmentée pour obtenir le résultat recherché, ce qui entraîne mathématiquement une augmentation du coût global du crédit qui tient également compte des frais liés au prêt de restructuration ).
Ainsi, la réduction de la charge de remboursement mensuelle peut atteindre, voire dépasser, 60%. C’est autant de pouvoir d’achat libéré pour vivre et épargner.
Il existe deux grandes catégories de rachat de crédits qui déterminent notamment les taux, les montants prêtés et les durées d’amortissement. Il s’agit du :
- – rachat de crédit immobilier, avec ou sans hypothèque ( rachat de crédit cautionné ), à taux fixes ou révisables, capés ou non réservé aux propriétaires et accédants, ainsi qu’à ceux pouvant bénéficier d’une caution hypothécaire;
- – regroupement de crédits consommation, sans garantie, ouvert à tous.
Les prêts de restructuration sont délivrés par un petit nombre d’établissements de crédits spécialisés et sont majoritairement distribués par des intermédiaires en opérations de banque ( IOB ) mandatés par ces établissements en raison du niveau d’expertise professionnelle spécifique requis par cette spécialité.
Depuis quelques années, le rachat de crédits connaît un succès grandissant et contribue à limiter le surendettement. Selon LE FIGARO, 20 milliards d’euros ont été renégociés en 2006 dans le cadre d’opérations de rachat de crédit. Cinq millions de français pourraient avoir recours au rachat de crédit, qu’il s’agisse de rachat credit immobilier ou de regroupement de crédits à la consommation. En 2006, l’Association Française des Sociétés Financières indique que la production de prêts personnels a enregistré une croissance de 12% dont 25% de rachats de crédits et la tendance est nettement à la hausse.